Le Groupement forestier Métis-Neigette estime qu’il doit rétablir les faits concernant son projet de fusion avec le Groupement forestier de Témiscouata.

Selon un communiqué de l’organisme, cette fusion ne se veut ni une perte de contrôle, ni un éloignement des membres, mais bien un levier de solidarité, de renforcement collectif et de protection régionale.

Selon le GFMN, la fusion permettra notamment d’améliorer les services offerts aux propriétaires-actionnaires (membres), d’investir davantage dans l’innovation et la diversification des activités et de mieux négocier avec les grands acheteurs.

L’organisme sent le besoin de répondre aux propos d’un ancien administrateur, Jean-Maurice Lechasseur. Le Groupement affirme que contrairement à certaines perceptions, la démarche actuelle n’est aucunement motivée par des difficultés économiques.