Myriam Lapointe-Gagnon est profondément déçue du traitement accordé aux éducatrices en CPE, qui ont récemment voté pour trois journées de grève supplémentaires.

La fondatrice du mouvement « Ma place au travail » déplore également que la promesse, effectuée en 2022 par la CAQ de compléter le réseau des CPE, fasse du surplace. Ce n’est pas demain la veille que tous les enfants auront accès à une place subventionnée. Selon Myriam Lapointe-Gagnon, le bien-être des enfants ne fait clairement pas partie des priorités du gouvernement du Québec.

 

Myriam Lapointe-Gagnon ajoute qu’il y a encore trop de femmes et de familles qui mettent leur projet de fonder une famille ou de l’agrandir à l’écart ou même à l’abandon en raison des risques élevés de ne pas trouver de place en CPE. Elle prend même son exemple personnel pour appuyer ses propos.