La manifestation des groupes communautaires tenue dans les rues de Rimouski, mercredi, s’est déroulée sans demander la collaboration de la police, ce qui est habituellement le cas.

La Sûreté du Québec souligne toutefois qu’aucune autorisation n’est nécessaire, comme c’était le cas pendant la crise sanitaire.

Un sympathisant des revendications sociales portées par les groupes en question déplore quelques débordements, comme une perturbation de la circulation sur la voie publique. Il trouve que cela porte ombrage à la légitimité des groupes communautaires.

Le relationniste de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies, mentionne qu’il n’y a pas d’obligation d’obtenir l’autorisation du corps policier pour manifester.